7, rue Florimond Robertet 42600 Montbrison Tél. 04 77 96 01 10 Ouvert mercredi et samedi : 9 h - 12 h et 14 h - 17 h Secretariat à votre disposition du mardi au samedi : 9 h - 12 h et 14 h - 17 h
Activités : gestion de plusieurs monuments historiques, une bibliothèque, un musée archéologique, un centre d'archives
Le groupe archéologique Forez-Jarez :
4 bis rue André malraux 42000 Saint Etienne
Permanences : de 14 h à 18 h du mardi au samedi
Activités : Musée de la préhistoire
à la fin de la période gallo-romaine. Accueil des scolaires.
Publications. Expositions itinérantes. Bibliothèque. Sorties
culturelles. Atelier de maquettes et de reconstitution de poteries.
Conférences
L'espace forézien à depuis toujours été
occupé par des hommes, dont nous ne savons que très peu de chose sur les
premiers d'entre eux. L'histoire de cette région commence à être connue
principalement à partir de l’antiquité avec le peuple gaulois des ségusiaves.
Pline (auteur romain) les qualifie de " peuple libre
" (" Segusiani liberi "). Il s’agirait d’un peuple issu des
Eduens. Un peuple de commerçants établi entre Loire et Rhône et dont la
capitale était l’actuelle Feurs, nommée plus tard sous la domination romaine le
Forum Segusiavorum.
Peuple commerçant qui fit de l’oppidum d’Essalois un lieu
d’échange mais aussi guerrier car il s’était rallié à l’armée de Vercingétorix
contre l’envahisseur romain.
Les Ségusiaves avaient pour territoire le
triangle Rodumna (Roanne), Feurs et la future capitale des Gaules Lugdunum
(Lyon). D’autres peuples gaulois occupaient certaines parties de notre
département actuel. Dans les Monts du Forez, les environs de Montarcher se
partageaient ainsi entre les Ségusiaves, les Vellaves et les célèbres Arvernes.
Les Monts de la Madeleine qui poursuivent les Monts du Forez au nord vers
Roanne touchaient le territoire des Boiens du Bourbonnais. Enfin le Pilat
marquait la frontière de trois peuples: les Ségusiaves, les Allobroges à l’est
et les Helves vers Vienne.
Sous la domination de Rome, le Pagus Forensis (" Pays
des Foréziens, autrement dit sticto-sensu " le pays des habitants de Feurs
") compris dans la province de la Gaule Lyonnaise devint
florissant. Le Forez est situé sur une voie de communication importante. Il est
traversé par la voie Bolène entre Lyon et Bordeaux qui passe par Icidmago
(Usson-en-Forez) via Feurs et Aquae Segetae (Moingt) et par la route entre
Vienne et Clermont. Feurs est alors une étape importante sur la route de
l’étain. Aquae Segetae, près de Montbrison, était alors une ville d'importance
avec thermes et théâtre.
Représentation de la cité d'Aquae Segetae et de forum Segusiavorum d'après la table de Peutinger
Le
moyen âge.
Avec la fin de Rome, le Forez passa en 478 sous
la domination des Burgondes puis en 534 sous celle des Francs via les fils de
Clovis qui l’inclurent dans leur traité de partage. Sous les Carolingiens,
Forez et Lyonnais sont étroitement unis et ne forment alors qu'une Cité.
A la mort de Charlemagne puis de son fils Louis
le Pieux, l'empire fut démembré lors du traité de Verdun en 843 entre les trois
petits fils de Charlemagne. Et l'histoire du Lyonnais, donc du Forez, devient
complexe à retracer. Bien qu'en théorie le Lyonnais ait dû faire partie du
royaume de Charles le Chauve (la Francie) les archevêques de Lyon se rangèrent
aux côtés de Lothaire qui règnait sur un territoire s'étendant de l'Italie à la
Belgique via la Lorraine: la Lotharingie. Après Lothaire, le Lyonnais passa aux
mains de ses fils Charles, roi de Provence puis de Lothaire II, roi de
Lorraine. En 870, Charles le Chauve, toujours vivant et qui a bonne mémoire
chasse Gérard de Roussillon à qui Lothaire Ier avait confié l'administration du
territoire et nomme à sa place le comte Boson. Concernant Boson, celui-ci, deux
ans après la mort de son maître Charles le Chauve, en 879 et alors que les
vikings sèment l'anarchie au nord de la France, voulut se faire sacrer roi. Son
royaume, connu sous le nom de Royaume de Provence s'étendait de Marseille au
Jura, des Alpes aux Cévennes. Le Forez en était. Boson mourut à Vienne en 887.
Lui succédèrent son épouse Ermengard et son fils Louis l'aveugle. Puis Hugues
de Vienne céda le territoire au roi de Bourgogne Rodolphe II, issu d'une
famille allemande. A ce dernier succédèrent Conrad jusqu'en 993 puis Rodolphe
III jusqu'en 1032. Ce territoire est alors connu sous les noms de Royaume du
Jura, de Burgondie, de Provence, des Germains etc.
Comme nous venons de le voir avec
l'illustration de notre région (au sens Rhône-Alpin), la fin de l'Empire
carolingien et du pouvoir "royal-central" fut marquée par un
morcellement de l'autorité au profit de nombreuses principautés. Lesquelles
plus tard devaient se morceller de même en de multiples seigneuries, marquant
le début de la Féodalité. Pour l'heure, nous sommes à la fin du Xème siècle et
c'est à cette époque que le Forez sort des brumes de l'histoire, d'abord dans
le giron lyonnais (comitatus Lugdunensis) puis de manière autonome. Deux
personnages en effet gouvernent le Lyonnais et le Forez au profit des rois déjà
cités. Il s'agit de l'archevêque de Lyon, qui durant près d'un siècle sera issu
d'une même famille, celle des Burchards, et du comte de Lyon et de Forez, un officier
nommé et révocable. En 993, un d'entre eux, Artaud, obtient de Conrad
l'hérédité de sa charge. Il peut désormais la transmettre à ses fils. C'est la
naissance de la première race (ou famille) des comtes de Forez (sept comtes)
qui pour l'heure sont encore comtes de Lyon et de Forez.
France vers l'an 1000
Les
comtes de Forez.
En 1032, Rodolphe III, incapable de gouverner céda
le Lyonnais, incluant le Forez, à l'Empereur d'Allemagne Conrad III le Salique
auquel l'archevêque de Lyon prêta hommage. C'est le début de la très longue
lutte qui va opposer les comtes de Forez aux archevêques de Lyon. Le conflit
est d'abord d'origine politique. Les comtes de Lyon et de Forez en effet
souhaitant se placer sous l'autorité des rois de France, ceux-ci n'ayant jamais
renoncé -depuis Verdun- à leur prérogatives sur notre région. Il n'est pas
abusif de dire que l'entrée de Lyon dans le giron du Royaume de France bien
plus tard, sera dû en partie à l'action des comtes de Forez en ce sens, même
quand le Forez et le Lyonnais se seront séparés. L'autre aspect du conflit
vient du fait que le comte de Forez possède des domaines à Lyon et vice-versa.
Enfin, et plus simplement, c'est une lutte de pouvoir pour la domination de
Lyon qui se joue.
Citons parmi ces farouches guerriers de la première
famille Artaud III qui réunit sous son autorité le comté de Forez et le
Lyonnais. Il entra en armes dans Lyon et en chassa l'archevêque Burchard avant
de conclure avec lui un traité lui reconnaissant quelques droits sur la
capitale des Gaules en échanges de terres épiscopales sises dans le comté de
Forez. Giraud II qui recommença la guerre contre le parti de l'archevêque
soutenu par les Empereurs d'Allemagne. Ou encore Artaud IV qui en 1062 dut
céder Lyon et porta pour la première fois le titre de comte de Forez. Mais
aussi Guillaume III l'Ancien dont Guillaume de Tyr parle avec éloge et qui
périt en Terre Sainte au siège de Nicée. Avec ses fils Guillaume II et
Eustache, morts tous deux sans descendants s’acheva sa lignée qui gardait Feurs
(ou Sury ?) comme capitale et dont le blason est sujet à caution, peut-être un
chêne de sinople (vert), arbre commun de ce vieux pays celte où les forêts sont
nombreuses.
Débute alors celle de la 2ème famille des
comtes de Forez qui devait élever Montbrison au rang de ville principale et qui
donna onze comtes au Forez. Cette seconde famille était apparentée aux Dauphins
du Viennois, ce qui explique le nouveau blason " De gueules au Dauphin
d’or " et le mammifère commun au Forez et au Dauphiné, d’azur (bleu)
dans le second cas. La grande affaire de cette famille fut d’abord d’en finir
avec le conflit séculaire l’opposant au voisin, l’archevêque de Lyon. En 1157,
la bulle d'or de l'empereur Frédéric Barberousse octroya la ville de Lyon à
l'archevêque Héracle de Montboissier, qui avait prêté hommage à l'Empire. Une
guerre s'ensuivit et Gui II entra dans Lyon, en fut chassé et vit ses terres
envahies à leur tour. Le comte sollicita alors l'intervention du roi de France
Louis VII et lui prêta hommage, en 1167, pour ses châteaux de Montbrison,
Monsupt, Montarcher, la Tour-en-Jarez et Chamousset. En 1173 fut conclue la
" permutatio ", c’est à dire le traité qui mit fin aux guerres et qui
fut ratifié par le roi de France et le Pape. Le comte de Forez renonçait à ses
prétentions sur toute la rive gauche de la Saône.
A noter la singularité du Jarez qui est coupé en
deux, une partie passe entre les mains du Comte de Forez (Rochetaillée,
Feugerolles, Saint-Priest, Saint-Héand) mais quelques places restent en
possession de l’archevêque de Lyon dont Saint-Chamond, Riverie et
Saint-Symphorien-sur-Coise. Le territoire compris entre les châteaux de la
Tour-en-Jarez et de Saint-Priest devenant une sorte de zone neutralisée entre
les possessions foréziennes et lyonnaises. En contrepartie de ces concessions,
le comte de Forez reçut 1 100 marcs d'argent et sa suzeraineté fut affermie
dans ses possessions roannaises où l'archevêque de Lyon consentait à des
sacrifices.
Ces comtes de Forez restent dans les mémoires
pour avoir fait édifié en particulier la collégiale Notre-Dame-d’Espérance à
Montbrison (Gui IV y repose dans son tombeau) et la salle héraldique de la
Diana construite à l’occasion du mariage de Jehan Ier de Forez (dont on dit
qu’il fut le plus magnifique seigneur de sa race) avec Alix de
Viennois en 1296 qui amena en dot au Forez quelques lieux du Pilat. Egalement
pour avoir lutté en Terre Sainte (Gui III est mort à Saint-Jean d’Acre, Gui IV
s’est éteint en Italie sur le chemin du retour après avoir confié le
gouvernement à sa femme Mahaut de Nevers, Gui V fut blessé à Damiette) mais
aussi contre les grands féodaux (en particulier les farouches Damas de Couzan
dont le château domine encore les gorges des monts du Forez) ou les seigneurs
voisins de Beaujeu (qui ont donné leur nom au Beaujolais). De cette époque
féodale il reste encore des châteaux massifs, des tours ou des vestiges de
remparts élevés par ou pour les comtes de Forez: Chalmazel, Chevrières,
Cervières, Marcilly, Cleppé...
Vers le Sud-Est du comté, aux confins des terres de
l'Eglise de Lyon, se constitua la puissante seigneurie de Jarez. La famille de
Jarez, sous la mouvance immédiate du comte de Forez en même temps que vassale
de l'archevêque de Lyon pour certaines possessions, devint la maîtresse
effective de Saint-Chamond, de Rochetaillée, de Saint-Priest et de Feugerolles.
Leur domaine s'étendit ensuite jusque vers Pélussin, Argental et Malleval. Ce
sont encore les d'Urgel de Saint-Priest, seigneurs de Jarez qui reçurent Saint-Etienne
des comtes de Forez.
Une trentaine de grandes famille du Forez furent, peu ou prou, vassales des
comtes de Forez. Citons les plus connues: les d’Urfé, les d'Apchon, les Couzan,
les Lavieu, les d'Augerolles, les d'Apinac, les d'Ecotay, les Raybe, les
Sapolgue...
Du point de vue administratif, c'est le comte Jehan
Ier qui au début du XIVème siècle donna au territoire une organisation
efficace, calquée sur celle des rois de France. Le pouvoir judiciaire et
administratif, à l'échelon local, est aux mains de capitaines châtelains qui
ont la garde des places fortes. Quarante et une châtellenies forment alors le
comté. Autour du comte, baillis, juges, chancelier et clercs ont d'importantes
attributions. A noter encore que treize villes (les treize villes de Forez),
dites "vocables" ont droit d'envoyer des députés aux Etats du Pays.
Il s'agit de Montbrison, Feurs, Saint-Germain-Laval, Sury, Saint-Galmier,
Saint-Bonnet-le-Château, Boen, Saint-Etienne-de-Furan, Bourg-Argental, Roanne,
Saint-Haon-le-Châtel, Saint-Rambert et Cervières.
Lors de la guerre de Cent ans, les comtes de
Forez luttèrent contre les pillards anglais et mercenaires, les Tard-venus qui
ravagèrent les villages de Valbenoîte, Estivareilles, Saint-Rambert ou même
Montbrison... Gui VII en 1338 rejoignit à Péronne les troupes du royaume de
France et combattit avec succès l'envahisseur en Flandres et dans le Languedoc.
C’est encore en les combattant que le Comte Louis de Forez perd la vie en 1362
lors du désastre de Brignais qui entraîna la fin de la dynastie des comtes de
Forez. Le pays passa en effet aux mains de son frère Jean qui, à moitié fou,
laissa en réalité sa mère, Jeanne de Bourbon, l'administrer et le défendre.
Ducs
de Bourbon, d’Urfé et Rois de France.
Sa petite fille Anne-Dauphine épousa Louis II de
Bourbon et le Forez passa sous la coupe des Ducs de Bourbon dont la capitale
était Moulins dans l’Allier. Si les ducs de Bourbon et comtes de Forez furent
les maitres de la région, les d’Urfé qui eurent la charge de bailli de Forez en
furent les bienfaiteurs. Cette famille qui servait déjà les comtes de Forez,
servit les ducs de Bourbon puis les rois de France. Elle donna nombre d’hommes
d’église, de guerre et de lettres dont plus tard son plus célèbre représentant,
Honoré d’Urfé, grâce auquel le nom de Forez fut connu de toute l’Europe via L’Astrée.
C’est d’une sombre manière que le Duché de
Bourbon et avec lui le Forez fut annexé définitivement par la couronne.
Certains y voient d’abord la conséquence de la trahison de Charles III de
Bourbon vis à vis du Roi de France. D’autres l’excusent en insistant sur le
rôle néfaste de Louise de Savoie, mère de François Ier. Toujours est-il que le
15 juillet 1523, à Montbrison eut lieu un événement lourd de conséquences.
Charles III, dernier des ducs de Bourbon et des Comtes de Forez reçut en secret
l’émissaire de l’empereur germanique Charles Quint. Une alliance fut conclue
pour lutter contre le roi de France François Ier. Quelques années plus tard,
Charles de Bourbon succomba sous les murs de Rome et le Forez fut annexé par le
royaume de France. En 1536, François Ier, descendant de Guy VII de Forez vint
en personne, accompagné de toute la cour à Montbrison qui lui fit fête pendant
plusieurs jours.
Honoré d'Urfé
Vers notre époque.
Mais le XVIe siècle forézien fut marqué aussi
par des réjouissances beaucoup moins sympathiques. Les guerres de religion
d’abord enflammèrent tout le pays et Saint-Etienne, Saint-Galmier et surtout
Montbrison durent souffrir le passage des troupes huguenotes commandées par des
chefs terribles, en particulier le Baron des Adrets. Au final, le Forez fut peu
sensible à la doctrine réformée et resta catholique. Un peu trop, pourrait-on
dire puisqu’ après la mort du roi Henri III Anne d’Urfé emmena une partie des
Foréziens dans l’aventure de la Sainte Ligue. Cette période est marquée aussi
par le fléau de la peste qui fit des ravages dans presque toutes les villes et
villages de la région.
Montbrison au Moyen-Age d'après l'Armorial Siège de Montbrison par les troupes de Guillaume Revel. du baron des Adrets.
Du point de vue administratif, la réunion du
Forez à la couronne s'accompagna de changements. La Chambre des Comptes de
Montbrison fut supprimée dès 1532 et la province fut rattachée à la généralité
de Lyon. En 1645, en raison de l'importance croissante de Roanne et de
Saint-Etienne, furent créés des sénéchaussées dans ces deux cités, chargées de
la justice, non sans une vive opposition du bailliage de Montbrison,
concurrencé dans ses prérogatives anciennes.
Dans les deux siècles qui suivirent, Montbrison
commença à s’endormir dans le souvenir de son glorieux passé tandis qu’une
forme de pré-industrialisation gagnait le bassin stéphanois. Dès 1706, le
charbon stéphanois gagnait déjà Paris via les rambertes de la loire et Roanne
se lançait dans la fabrication des cotonnades. Cette période est également
marqué par des évènements marquants, le passage du bandit Mandrin à
Saint-Etienne, Montbrison et Saint-Bonnet-le-Château mais aussi l’expansion des
idées jansénistes condamnées sous Louis XIV et qui devaient donner naissance
dans le Forez à certains mouvements religieux millénaristes, en particulier
celui des Béguins de la " Petite Eglise du Forez " qui existe encore
de nos jours.
La Révolution fut
accueillie favorablement dans le Forez mais la Constitution Civile du Clergé,
l’assassinat du roi et finalement la terreur jacobine menée à Feurs par le
sinistre Javogues devait ensanglanter et diviser notre région. Et si la plaine
et la région stéphanoise restèrent très républicaines (en règle générale) les
massifs montagneux, des monts du Forez aux Montagnes du matin et le Pilat
eurent leurs guérillas chouannes. En particulier celle que mena dans les Monts
du Lyonnais Antoine Crozier. Le fait le plus notable de cette période troublée
restant sans doute la création du département de Rhône-et-Loire avec Lyon pour
chef-lieu puis la scission entre deux départements distincts suite à
l’insurrection de Lyon soutenue par Montbrison. Celui de la Loire eut d’abord
l’antique Feurs comme chef-lieu pour une brève période (Montbrison ayant été
puni pour avoir soutenu les révoltés lyonnais) puis à nouveau Montbrison qui en
1856 devait céder la place à Saint-Etienne devenu préfecture par la grâce d’un
développement industriel inexorable.
Le Forez est une ancienne province de France, correspondant approximativement
à la partie centrale du département de la Loire avec une partie des
départements de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme. Le Forez est le plus
souvent associé à la plaine portant son nom et donne également son
appellation aux Monts du Forez. La plaine du Forez est située entre les montagnes du matin et les montagnes du soir.
Ce blog est là pour tous les passionnés d'histoire et d'archéologie, et plus principalement se rattachant au Forez. Chacun d'entre vous sont les bienvenues et chacune de vos idées afin d'améliorer ce blog seront les bienvenues. Son but étant de regrouper le maximum d'information traitant du Forez afin d'en faire profiter le plus de monde possible.
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